Rafael Nadal started playing in Grand Slam tournaments at the age of 17, ten years ago. From a teenager full of prospects to the man he is today, let’s take a visual journey to Rafa’s decade of milestones and achievements, and see how he has blossomed in front of our very eyes. Here is Rafa, from 2003 until now. It’s a pleasure to be a Rafael Nadal fan. VAMOS RAFA!

2003. Un visage encore enfantin. Mais déjà perce sous le regard juvénile un caractère en acier trempé au cours de cette année 2003, qui le voit intégrer pour la première fois le Top 100, au mois d’avril, à 16 ans et 10 mois. Il ne le quittera plus.

2003. Première participation à un tournoi du Grand Chelem. Rafael Nadal fait ses premiers pas à Wimbledon. Il vient tout juste de fêter ses 17 ans et franchit les deux premiers tours avant de s’incliner face à Paradorn Srichaphan.

2004. A Miami, il affronte pour la toute première fois Roger Federer et signe un monumental coup d’éclat en battant le numéro un mondial.

2004. Premier titre sur le circuit, en août. A 18 ans, le Majorquin s’impose en Pologne, lors du tournoi de Sopot, où il bat en finale l’Argentin José Acasuso. Le premier de ses 57 titres à ce jour.

C’est également cette année-là qu’il effectue ses débuts en Coupe Davis. En finale, face aux États-Unis, il remporte son match contre Andy Roddick le premier jour. L’Espagne s’impose 3-2. C’est le premier très grand titre de la carrière de l’enfant de Manacor, ici avec Juan Carlos Ferrero.

En pleine préparation à Manacor, avec son ami et agent, depuis 2001, l’ancien joueur Carlos Costa, 10e mondial en 1992.

2005. Nadal attaque l’année 2005 à la 51e place mondiale. Il la termine… à la deuxième. C’est la saison de son explosion au plus haut niveau. A l’Open d’Australie, il atteint les huitièmes de finale, où il s’incline en cinq sets face à Lleyton Hewitt, futur finaliste.

2005. Un an après sa victoire contre Federer, il retrouve le Suisse à Miami. Mais en finale cette fois. La première entre les deux hommes. Rafa mène deux sets à rien puis réussit le break mais Federer, à l’expérience, s’en sort en cinq manches. Le coup est passé près…

C’est en ce printemps 2005 que Nadal s’impose comme le roi incontesté de la terre battue. A Monte-Carlo, il domine Richard Gasquet au terme d’une superbe demi-finale, puis s’offre Guillermo Coria pour remporter son premier Masters 1000. Dans la foulée, il gagne à Barcelone et Rome.

Roland-Garros 2005. Nadal est désormais numéro 5 mondial. En demi-finales, il croise la route de Roger Federer. C’est le choc du tournoi. Le premier de leurs cinq duels à Paris. L’Espagnol remporte le premier set, cède le deuxième, mais il l’emporte finalement en quatre manches.

Première finale de Grand Chelem, face à l’Argentin Mariano Puerta. Un combat superbe. Nadal concède la première manche mais du haut de ses 18 ans, son physique est aussi solide que son mental de champion. Victoire en quatre sets de Rafa, qui entre dans la cour des grands ce jour-là.

C’est Zinédine Zidane en personne qui remet la Coupe des Mousquetaires à Nadal. Personne n’imagine qu’il remportera sept titres de plus Porte d’Auteuil. Néanmoins, chacun pressent bien que ce premier sacre terrien ne sera pas le dernier…

Un moment spécial pour Nadal, qui remporte à l’automne 2005 le Masters 1000 de Madrid, alors disputé en indoor. Un évènement. Pourquoi? Parce que, à ce jour, cela reste l’unique tournoi remporté en salle par le Majorquin. C’est son 11e titre de la saison 2005, la plus prolifique de sa carrière.

2006. Blessé au pied, il doit faire l’impasse sur tout le début de saison. Après une rentrée à Marseille, il frappe un grand coup à Dubai, sur dur, où il décroche le titre en battant notamment Federer en finale, 2-6, 6-4, 6-4.

Rafael Nadal et Roger Federer en promenade dans les rues de la Principauté, avant d’en découdre à Monte-Carlo. Le Suisse est au volant mais, sur le court, c’est bien l’Espagnol qui fait la loi. Il domine Federer en finale: 6-2, 6-7, 6-3, 7-6. Leur rivalité devient incontournable.

Un des plus grands matches jamais joués par Nadal et Federer. Lors de la finale du Masters 1000 de Rome, les deux joueurs se surpassent. Spectacle somptueux. Federer obtient deux balles de match mais s’incline à nouveau, 7-6 au 5e set, après cinq heures de jeu.

De façon inévitable, Nadal et Federer se retrouvent encore en finale, à Roland-Garros. Rafa prend un cinglant 6-1 lors d’un premier set survolé par la maestria du Bâlois. Mais il ne tient pas la distance et Nadal s’impose en quatre sets.

C’est son deuxième titre consécutif à Roland-Garros et sa 6e victoire en sept matches face à Federer, face auquel il commence à prendre un ascendant important, même si l’essentiel de leurs rencontres ont eu lieu sur terre battue.

A Wimbledon, Nadal frôle l’élimination au deuxième tour contre l’Américain Robert Kendrick. Il s’en sort et au tour suivant il domine nettement Andre Agassi, la légende vivante, qui dispute là son dernier match sur le centre court.

C’est au cours de cette édition 2006 que l’Espagnol montre de quoi il est capable sur le gazon londonien. Après Agassi, il dispose de Labadze, Nieminen et Baghdatis pour rallier sa toute première finale à Wimbledon. Il s’y incline en quatre sets face à Federer. Mais il a pris date.

Autre progression significative lors de cette saison 2006, il franchit pour la première fois le cap de la première semaine à l’US Open. Il va même jusqu’en quarts à Flushing, où il est battu par Mikhail Youzhny.

Comme souvent, Nadal connait quelques soucis de santé en début de saison. 2007 n’échappe pas à la règle. Il atteint néanmoins les quarts de finale en Australie pour la première fois. Puis, au mois de mars, il triomphe à Indian Wells. Son premier titre depuis Roland-Garros l’année précédente.

A Monte-Carlo, il garde ses bonnes habitudes: troisième sacre consécutif, avec un nouveau succès sur Federer en finale. Il n’a alors plus perdu depuis deux ans sur terre. Sa fabuleuse série de 81 victoires prend fin peu après lorsqu’il s’incline en finale à Hambourg face à ce même Federer.

La bataille des surfaces. Avant Roland-Garros 2007, Nadal et Federer se prêtent à ce drôle de match sur un court à moitié sur gazon, à moitié sur terre battue, à Palma de Majorque. Pour l’anecdote, Nadal l’emporte 7-5, 4-6, 7-6.

Troisième finale consécutive à Paris entre le roi de la terre et le roi du monde. Une fois encore, Nadal prend le dessus sur Federer, en quatre sets. Rafa réussi un triplé jamais vu depuis Bjorn Borg.

Sur un Centre court de Wimbledon dévasté par les travaux d’aménagement du toit, Roger Federer et Rafael Nadal prennent la pose après le 5e titre anglais du Suisse. Comme en 2006, Nadal a cédé. Mais il est passé tout près, ne s’inclinant qu’en cinq manches.

Physiquement, Nadal connait à nouveau des soucis et à l’US Open, il n’est que l’ombre de lui-même. Laborieux en première semaine, il s’incline dès les huitièmes face à David Ferrer. Il ne gagnera plus un seul tournoi d’ici la fin de la saison 2007.

Nous voici désormais en 2008. Ce sera l’année triomphale de Rafa. Mais elle commence par un coup de massue, à l’Open d’Australie, lorsqu’il est pulvérisé en trois sets en demi-finales par un Jo-Wilfried Tsonga en transe.

Et de quatre à Monte-Carlo ! Pour la première fois, un joueur remporte quatre années consécutives un Masters 1000. Pour changer, c’est Federer qui joue les victimes de luxe en finale.

7 mai 2008: Vcitime d’ampoules aux pieds, Nadal s’incline au 2e tour à Rome contre Juan Carlos Ferrero. Il restera ensuite invaincu pendant plus de trois mois, remportant ses 32 matches suivants. Son record.

Roland-Garros 2008. la punition. Déjà vainqueur de Federer les trois années précédentes à Paris, dont deux fois en finale, Nadal s’impose à nouveau contre le Bâlois. Cette fois, il n’a pas besoin de quatre sets. Trois suffisent. Federer n’inscrit que quatre jeux, encaissant même un cinglant 6-0.

Trois géants sur un même cliché. Après sa victoire expéditive contre Federer, Nadal reçoit sa quatrième Coupe des Mousquetaires des mains de Bjorn Borg qui détient alors, encore, le record de victoires à Paris…

Peut-être LE sommet de la carrière hors normes du champion espagnol. Le 6 juillet 2008, Nadal et Federer s’affrontent pour la troisième fois consécutive en finale de Wimbledon.

Après quasiment cinq heures de pur bonheur tennistique, Nadal fait chavirer le maitre des lieux, quintuple tenant du titre. 9-7 au cinquième set à la nuit tombante. Un joyau de match, de ceux qui ne perdent rien de leur force avec le temps.

Nadal n’est plus simplement le roi de la terre. En prenant le dessus sur Federer à Wimbledon, il étend son territoire. C’est son cinquième titre du Grand Chelem, le premier en dehors de Paris.

Il est 21h17 à Londres, 22h17 à Paris et il fait quasiment nuit noire lorsque Nadal grimpe à la tribune pour aller fêter sa victoire historique avec son clan. Il est le premier joueur depuis Borg à réussir le doublé Roland-Garros/Wimbledon. Une page d’histoire vient de s’écrire.

Rafa poursuit son été triomphal: vainqueur à Toronto, il s’assure ensuite la place de numéro un mondial au mois d’août après une victoire sur Lappenti en quarts de finale à Cincinnati. Nadal était resté durant près de 160 semaines consécutives dauphin de Federer.

Roland-Garros, Wimbledon, place de numéro un mondial et désormais médaille d’or olympique. Rien ne résiste au Majorquin, incontestable patron du tennis mondial en cette année 2008.

Après avoir atteint pour la première fois les demi-finales à l’US Open, Nadal repart au combat en Coupe Davis. Vainqueur de Querrey et Roddick, il contribue largement à la victoire espagnole face aux Etats-Unis. Mais, blessé, il ne disputera ni la finale ni le Masters.

2009. Nouvelle finale face à Roger Federer. La toute première à l’Open d’Australie. Encore un match de légende. Mais le scénario semble immuable: Nadal prend le dessus au final. Victoire en cinq sets. Le Suisse n’a plus que ses yeux pour pleurer.

Un record de plus: Cinquième victoire consécutive à Monte-Carlo, où il bat Novak Djokovic en finale.

En marge du Masters 1000 de Rome, Nadal et Djokovic se retrouvent au Stadio Olimpico pour assister à un match de la Roma. Moment de détente. Ils allaient ensuite s’affronter en finale, avec une victoire de Nadal 7-6, 6-2.

Un des premiers “classiques” contre Djokovic, en demi-finale du Masters 1000 de Madrid. Une rencontre sensationnelle. Il faut 4h03 minutes à Rafa pour venir à bout de Nole, 3-6, 7-6, 7-6. Il sauve même trois balles de match dans le tie-break du dernier set. En finale, il cèdera devant Federer.

Grandissime favori de Roland-Garros, Nadal s’incline à la surprise générale en huitièmes de finale, contre Robin Söderling (2-6, 7-6, 4-6, 6-7). La seule défaite de sa carrière à ce jour sur terre battue dans un match en trois sets gagnants. Un vrai choc

Dans la foulée de son élimination choc à Paris, Rafa renonce à Wimbledon. Touché physiquement mais ausis moralement par le divorce de ses parents, il éprouve le besoin de couper. Il effectue sa rentrée à l’US Open, où il atteint les demi-finales avant de s’incliner contre Del Potro.

C’est à travers la Coupe Davis que le joueur des Baléares trouve du réconfort en cette fin d’année 2009. Intraitable, il balaie Tomáš Berdych (7-5, 6-0, 6-2) et Jan Hájek (6-3, 6-4). L’Espagne l’emporte 5-0 face aux Tchèques.

Open d’Australie 2010. La grimace de Nadal. Mené 6-3, 7-62, 3-0 par Murray en quarts de finale, le Manacori abandonne, blessé. Il ne détient plus aucune des quatre couronnes du Grand Chelem et glisse à la 4e place mondiale. A 23 ans, ses blessures à répétition commencent à inquiéter.

Rien de tel que les retrouvailles avec la terre battue pour rebondir. A Monte-Carlo, il remporte le titre pour la 6e année consécutive. Une semaine exceptionnelle, où il ne concède que 14 jeux en cinq matches ! Il devient le premier joueur de l’ère Open à remporter six fois de suite un tournoi.

Il aborde Roland-Garros avec un esprit de reconquête après son échec de 2009. Il accède à la finale sans perdre le moindre set, comme en 2008. Là, il retrouve un certain Robin Söderling, pour une revanche très attendue…

Nadal efface le souvenir de 2009 en dominant nettement le Suédois en trois sets. Il redevient ainsi numéro mondial et signe un “Grand Chelem rouge” inédit: victoire dans les trois Masters 1000 sur terre et à Roland-Garros au cours du même printemps.

Accolade en passant avec Tomas Berdych. Tombeur de Federer, le Tchèque ne peut empêcher Rafael Nadal de conquérir son deuxième Wimbledon. Victoire en trois sets en finale (6-3, 7-5, 6-4). A 24 ans, il totalise huit titres du Grand Chelem. Plus que McEnroe et Wilander. Autant que Lendl et Connors.

L’Espagne au sommet du sport mondial. Alors que Nadla enquille les titres, la Furia Roja est sacrée championne du monde de football pour la première fois en battant les Pays-Bas en finale. Nadal gagne le droit de porter le célèbre trophée. A ses côtés, Iker Casillas.

Discret entre Wimbledon et l’US Open, Nadal bénéficie à Flushing d’un tableau clément. Il se hisse en finale sans trop de problèmes. Là, il prend le dessus sur Novak Djokovic en finale. Tout de noir vêtu, il s’offre le dernier titre majeur qui lui faisait encore défaut.

2010 Rafael Nadal compte à présent neuf victoires en Grand Chelem, au moins un dans chaque levée. Il s’installe sans contestation possible parmi les plus grands champions de l’histoire du tennis.

Retrouvailels avec Federer au Masters. En finale, pour changer. En indoor, le Suisse possède toujorus un avantage sur son rival. Il s’impose en trois sets. C’est la première (et unique à ce jour) présence de Nadal en finale du Masters.

Nouveau déboires à l’Open d’Australie en ce mois de janvier 2011. Encore diminué physiquement, il met un point d’honneur à ne pas abandonner en quarts de finale face à David Ferrer. Mais il est battu en trois sets.

Finale du Masters 1000 de Madrid. Pour la première fois en 10 rencontres, Rafael Nadal est battu par Novak Djokovic. Un match charnière entre les deux hommes, qui marque le début de l’irrésistible ascension du Serbe.

Federer a retiré une belle épine du pied nadalien en sortant Djokovic en demi-finales de Roland-Garros. Les deux compères se retrouvent donc en finale pour la première fois en Grand Chelem depuis deux ans et demi. Leur quatrième finale à Paris.

Celle-ci s’achève comme les trois autres. federer joue un tennis sublime par séquences. Nadal laisse passer l’orage et, entre deux averses, pose les fondations d’une inévitable victoire. Il l’emporte en quatre sets. Plus que jamais, il est seul sur terre.

Bjorn Borg 6. Rafael Nadal 6. A 25 ans, le natif de Manacor égale le record de victoires à Roland-Garros de la légende suédoise.

Nadal tente un troisième doublé Roland-Garros/Wimbledon. Cela passe par une victoire contre Novak Djokovic. Le duel inévitable a lieu en finale. Cinquième finale de l’année 2011 entre les deux joueurs et cinquième victoire de Nole, qui s’empare de la place de numéro un mondial.

Rebelote à l’US Open. Après avoir cédé son titre à Wimbledon, il veut s’accrocher à celui conquis à Flushing un an plus tôt. Mais une fois encore, il doit subir un déluge de feu de Djokovic lors d’une finale d’une rare intensité.

Nadal fait preuve d’une ténacité extraordinaire. Il évite une défaite en trois sets mais s’incline logiquement en quatre. C’est l’année Djokovic, qui réalise le petit chelem.

Sa consolation, l’Espagnol la trouve en cette fin de saison 2011 dans la Coupe Davis. Il se montre décisif une fois de plus en finale face aux Argentins, remportant notamment un match d’anthologie contre Juan Martin Del Potro le dimanche.

Sans doute un des plus grands matches de la carrière du Majorquin. La finale de l’Open d’Australie contre Novak Djokovic dure près de six heures. Nadal, dominé, arrache le 4e set au prix d’un courage et d’ne obstination incroyables. Une fois ce set en poche, il tombe à genoux sur le court…

Mais Djokovic aura le dernier mot. Pour la troisième fois consécutive, Nadal cède en finale de Grand Chelem contre le Serbe, lequel a pris un ascendant indéniable sur lui. Score final: 5-7, 6-4, 6-2, 6-7, 7-5.

Les défaites de Nadal sur terre battue sont rares. Celle-ci ne compte pas vraiment comme une défaite comme une autre, sur la terre… bleue de Madrid. Rafa s’incline contre Verdasco et quitte la capitale espagnole furieux.

Juin 2012. En quatre sets et en deux jours, à cause de la pluie, Rafael Nadal dompte Novak Djokovic en finale et remporte son 7e titre à Roland-Garros. Un match tendu, disputé dans des conditions apocalyptiques.

Il dépasse ainsi Bjorn Borg et devient le roi incontesté de la terre battue au regard de l’histoire. Cette victoire met également fin à une série de trois défaites en finale de Grand Chelem face à Djokovic. Il peut tomber dans les bras de son oncle Toni.

Wimbledon, 2e tour. Enorme coup de théâtre avec la disparition de Rafa dès le deuxième tour, en cinq sets, face à Lukas Rosol. Son élimination la plus précoce en Grand Chelem depuis Wimbledon 2005. Blessé au genou, Nadal ne rejouera plus pendant sept mois.

Février 2013. Le grand retour. Finaliste à Vina del Mar, l’Espagnol renoue avec la victoire en s’imposant à Sao Paulo et ici, à Acapulco.

Mais son vrai tour de force, Nadal le signe à Indian Wells, où il triomphe au mois de mars en battant notamment Federer, Berdych et Del Potro. Son premier titre sur dur depuis deux ans et demi.

De retour sur terre, Nadal enquille les titres. Il s’incline certes en finale à Monte-Carlo contre Djokovic, mais s’impose à Barcelone, Madrid et Rome. Avant Roland-Garros, il a disputé huit tournois: six titres et deux finales.

Roland-Garros 2009. Après une début de tournoi compliqué, le Majorquin retrouve son rythme en seconde semaine. En demi-finale, contre Novak Djokovic, il livre un combat de titans dont il sort vainqueur à l’arraché, 9-7 au cinquième set.

En finale, Nadal expédie son compatriote David Ferrer. Pour la première fois dans l’histoire du tennis, un joueur s’impose à huit reprises dans un même tournoi du Grand Chelem. Roland-Garros est à jamais frappé du sceau de la suprématie nadalienne.